Constellations systémiques

Retrouvons la magie de l’outil constellations mis au service des thématiques de la transition et de notre relation au vivant comme lors du Festival Maintenant ! avec la participation de Rob Hopkins parmi les représentants !

Expérimenter, éclairer et apaiser des situations dans leur complexité

La méthode des constellations propose de voir un instantané d’une question ou d’une situation en la replaçant dans son contexte systémique, c’est-à-dire un contexte plus large, plus global. Cet instantané offre la mise en perspective de la situation par rapport à ce contexte, ce cadre spécifique et ouvre la possibilité de prendre le recul nécessaire pour découvrir et explorer des pistes de solutions ou de sortie du problème.

A l’origine, les constellations mettaient en représentation le système familial d’une personne humaine. La méthode s’est ensuite étendue à d’autres sujets et s’est transformée dans des sens très divers. Elle excelle actuellement en accompagnement de projets de toutes sortes, comme les projets liés au vivant, à l’environnement, dans les questions professionnelles et d’organisations, dans la recherche de résilience.

Aux Fougères, après une année d'expérimentation de la formule, nous avons décidé d'utiliser cet outil uniquement pour des thématiques au service du bien commun. L'ancrage se fait chaque fois dans l'histoire d'une personne. On fera probablement 2 ou 3 constellations par séance, avec l'angle de vue d'un.e des participant.es sur la thématique du jour. C'est surprenant de voir la richesse des systèmes !

Comment ça se passe ? La personne qui demande la constellation est spectatrice de ce qui est représenté par les autres participant.e.s qui, nécessairement, ne sont pas parties prenantes de la problématique et font usage de leur ressenti (et pas de leur mental). Nous utilisons l’intelligence collective en confidentialité. Outre sa bienveillance, chacun.e apporte l’«expertise» de son propre vécu de manière participative et co-crée le déroulement, la solution et/ou ses pistes. Sortir de la mentalisation, surtout ne pas sur-traumatiser, constater et vivre le non-jugement, explorer d’autres cartes du monde et prendre soin de chacun en particulier et du vivant en général est un objectif important de l’atelier.

Au-delà de l’acquisition d’un nouveau regard sur la problématique qu’il/elle questionne, un autre objectif est que chacun.e fasse l’apprentissage d’outils de ressenti (c’est-à-dire non mentaux) utiles dans sa vie quotidienne.

« Réaliser dans quelle pièce on joue et y voir clair, ça fait du bien ! »

En collaboration avec Delphes Dubray

Prochaines dates :
automne : samedi 18 novembre 2023 – 9h30-13h à Liège
hiver : samedi 20 janvier 2024 – 9h30-13h(30) à Liège
printemps : samedi 16 mars 2024 – 9h30-13h(30) à Liège
été : samedi 15 juin 2024 – 9h30-13h(30) à Liège

Thème :
Renouer nos liens avec la Terre-Mère, passer d'une vision naturaliste (où l'humain et la nature sont séparés) à une vision d'interdépendance (où nos relations sont au centre)

Cet atelier s'inscrit dans le cadre de la recherche action RACCOr : « Quels leviers pour des changements culturels et ontologiques vers une société qui soutient la vie et le vivant ? »

Prix libre en conscience

Pourquoi payer un atelier qui est au service du bien commun et s'inscrit dans le cadre d'une recherche financée par les pouvoirs publics ???
– Le montant financé pour notre recherche est de 105.000€ pour 7 chercheuses pendant 22 mois. Faites le calcul, ce n'est pas Byzance ! Et comme on est passionnées par ce sujet, on y consacre le temps qu'il faut, pas juste celui qui est subsidié. C'est pourquoi les dons des participants nous permettent de compléter ce montant. Libre à chacun.e de donner le montant qui lui semble juste.
– Bien commun, bien commun… Oui ! Et à la fois, cet atelier vous fera avancer sur votre chemin personnel ! 🙂

Informations et inscriptions : Bernadette Leemans – info@lesfougeres.be – 0498 54 33 81